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Article: Interview de Fatma Bellahouel et Mathilde Leger, fondatrices de Slow Break.

Interview de Fatma Bellahouel et Mathilde Leger, fondatrices de Slow Break.

Interview de Fatma Bellahouel et Mathilde Leger, fondatrices de Slow Break.

 

Car on n'a pas besoin daller bien loin pour voyager et apprendre. Prenons notre temps pour découvrir le pays où lon vit. Cest à travers cette double interview que nous allons découvrir une nouvelle façon de voyager plus écologique, économique et relaxante. Fatma et Mathilde nous le font découvrir tout au long de cette interview, leurs relations au voyage, à lenvironnement et comment cela a mené à la création de Slow Break. Des personnes vraiment intéressantes et inspirantes ! 

 

 

  

  1. Pouvez-vous nous raconter votre enfance ? 

 

  • Fatma : Je viens de la région parisienne, je viens d’une famille nombreuse, on n'a pas beaucoup voyagé car on n'avait pas beaucoup de moyens. On n'a pas été très sensibilisé et je n’étais pas non plus sensible à la cause environnementale. Depuis l’enfance j’ai un attrait pour les chiffres et les maths je me suis donc orientée naturellement vers des études d’économie. 

  • Mathilde : J’ai eu une enfance tranquille, heureuse, je viens également de la région parisienne. J’ai un frère et depuis l’enfance mes parents nous sensibilisent à la protection de l’environnement, en voyageant souvent en France mais très peu à l’étranger. Je me suis orienté vers des études d’économie de l’environnement. 

      
  1. Quel a été votre parcours jusqu’à SlowBreak ?

 On a à peu près le même parcours, nous avons toutes les deux une licence d’économie et notre rencontre s'est faite en licence d’éco. 

 

  • Fatma : J’ai fait un M1 en économie de l’innovation à Paris Saclay, j’ai rejoint Mathilde en M2 éco de l’environnement à AgroParisTech, j’ai fait une alternance au service RSE de chez Carmila (une filiale de Carrefour).   

  • Mathilde : J’ai fait mon M1 en économie de l’environnement à Agroparistech M1 économie de l’environnement, j’ai fait mon alternance chez Engi, une filiale de Cofely.

Nous avons beaucoup travaillé sur la question de l’environnement et en ce qui concerne notre futur nous voulions un travail en accord avec nos valeurs durant cette année on a également pas mal voyagé. On s'est rendu compte que notre façon de voyager n’était pas respectueuse et n’était pas en accord avec nos valeurs. On avait toujours le réflexe de prendre l’avion et petit à petit cette réflexion et notre changement de façon de voyager nous a mené à la création de SlowBreak. 

 

  1. Quel est votre rapport au voyage ? 

 

Notre réflexe était de prendre l’avion, et de faire un maximum de choses en un minimum de temps.

 

Maintenant on fait du slow tourisme, on prend notre temps, on part moins loin, on prend le train, on essaie de s’ouvrir aux autres, d’aller chez des hébergements qui ont des valeurs environnementales : maison d'hôtes ou hôtels, on fait des activités faites par des locaux, un échange de culture et de compréhension avec un soutien économique au local. 

À LIRE AUSSI:  Interview de Anne Jennifer Chicou, fondatrice d'OHMBOA.

 

 

  1. Comment est née l’idée de créer  SlowBreak ? 

 

L’idée vient de nos voyages, le but étant de promouvoir une nouvelle norme de voyage plus respectueuse de l’environnement et de l’humain. On a interrogé beaucoup de personnes (sondage, focus groups), et l’idée nous est venue de faire un week-end dans une destination mystère en France. Le déplacement se fait en train et ça donne une sensation d’aventure qu’on cherche. On a décidé de faire le format Week-End car on s'est rendu compte que les personnes aimant bien préparer les voyages longs mais pas les voyages courts.

 

  1. Comment fonctionne SlowBreak ?

 

Il faut réserver sur notre site, il y a un formulaire de réservation avec les envies, les préférences d'hébergement, les villes déjà faites… à l’aide de ce formulaire de réservation on prépare le Week-End qui leur convient, on leur propose une liste d’activités qu’ils choisissent en fonction de leurs préférences. Deux jours avant le voyage on leur donne des informations : la gare, l’heure de départ, la météo pour qu’ils puissent se préparer au mieux. Le jour J, 30 min avant le départ, on leur donne leur destination avec le billet, les adresses et ce qu’il y a d’intéressant à faire à cet endroit. 

À LIRE AUSSI:  Interview de Diane Glaoua, fondatrice de IGIVEBACK.

 

  1. Quelles sont les valeurs de SlowBreak ? 

 

  • Environnemental

 

  • Protection

 

  • Authenticité 

 

  • Simplicité 

 

  • Prendre son temps 

 

Objectif est d’alléger un maximum le travail des voyageurs et une fois qu’ils sont placés, ils n’ont qu’une chose à faire : se laisser porter.

 

 

  1. Quelle est votre plus grande fierté d’entrepreneure ? 

 

  • Le premier lancement de Slow Break s’est fait à la sortie du déconfinement. Nous avons fait partir 12 personnes, c’était des personnes qu’on ne connaissait pas et qui nous ont fait confiance. Les retours étaient très positifs, ils étaient ravis de leur Week-End et ça nous a confortés dans notre choix de continuer l’aventure SlowBreak.
  • Réussir le lancement de l’offre Slow Break en pleine crise sanitaire.
À LIRE AUSSI: Interview de Caroline Pailloux, fondatrice d'Ignition Program

     

    1. Comment partagez-vous votre temps aujourd’hui ? 

     

    On travaille sur Slow Break à plein temps, on se répartie les tâches :

     

    • Fatma CEO finance et relation partenaire

     

    • Mathilde : CMO marketing et relation client 

     

    L’emploi du temps change souvent car l’entreprise évolue, le travail est flexible.

     

    Notre temps personnel on fait beaucoup de yoga, on sort beaucoup, on se balade et on s’accorde assez souvent du temps pour nous. On voit sur le moment et on s’écoute beaucoup en ce qui concerne notre travail et notre vie personnelle. 

     

       9. Quelle est votre addiction ? 

    • Fatma:  le téléphone, j’essaie de fermer au max les notifications mais en général je regarde beaucoup et je travaille dessus. 
    • Mathilde : Je fais beaucoup de vélo, c’est une addiction sympa.

    À LIRE AUSSI:  Interview de Stéphanie Tosi, fondatrice de Carré d'artistes.

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